Quel RAID pour protéger efficacement ses données ?

Vous envisagez l’achat d’un NAS ou d’un RAID pour y stocker des données importantes ? Nous allons vous présenter les différents avantages et inconvénients de chaque configuration, du raid0 au raid 5 en passant par le raid1 et le raid6 méconnus à tort.

Pour monter un système RAID vous trouverez de nombreux tutoriels sur le net. Voici les configurations RAID les plus répandues, il en existe encore bien davantage :

  • RAID 0 : appelé etendu 
  • RAID 1 : appelé mirroringshadowing ou duplexing
  • RAID 2 : appelé striping with parity (obsolète)
  • RAID 3 : appelé disk array with bit-interleaved data
  • RAID 4 : appelé disk array with block-interleaved data
  • RAID 5 : appelé disk array with block-interleaved distributed parity
  • RAID 6 : appelé disk array with block-interleaved distributed parity

RAID 0 ou RAID « stripping » : la performance sans filet de sécurité.

En mode RAID 0, tous vos disques durs sont combinés en un seul et même disque, les données sont ainsi réparties entre tous les disques . Si le RAID 0 s’avère plus rapide il a l’inconvénient d’être plus fragile, en effet si l’un des disques tombe en panne c’est tout le RAID qui tombe en panne. C’est à dire que vous ne pourrez pas lire les données qui se trouvent sur les autres disques fonctionnels. En résumé, plus de performances, mais plus fragile.

En RAID 0, la capacité totale disponible est également à la somme des capacités des disques durs physiques, à la condition que ceux-ci aient tous la même taille. En cas de différence, c’est la capacité du disque le plus petit qui est prise en compte, multipliée par le nombre de disques ; les autres ne seront donc que partiellement utilisés. Le raid0 offre les meilleurs performances mais une sécurité inexistante. Les données sont stockées sur l’ensemble des disques.

Le conseil de l’Expert en récupération de données : ne pas utiliser plus de deux disques en RAID0. Nous avons déjà vu un RAID0 monté avec 48 disques de 4To chacun (une société de production vidéo). Des performances record en écriture/lecture.. mais une fiabilité épouvantable ! Imaginez… Si un seul disque des 48 tombe en panne et n’est pas récupérable (panne mécanique avec plateaux rayés par la tête de lecture), toutes les données sont corrompues ! Et même si ce 48ème disque est récupéré en salle blanche, la facture finale sera presque 24 fois le montant d’une récupération de données pour un RAID0 en 2 disques.

Le RAID0 n’est donc pas une solution valable pour sécuriser vos données. On l’adoptera uniquement pour des traitements de calculs lourds (statistiques, logiciel SAS, traitement vidéo post-production, imagerie 3D…) et pour des données temporaires non vitales.

RAID1 ou RAID « miroir » : le dédoublement de personnalité.

Le mode RAID 1 (« mirroring ») représente le moyen d’obtenir un stockage redondant et donc d’augmenter la durée de vie de vos données en cas de défaillance du disque. Dans une grappe RAID 1 composée de deux disques, les données sont écrites sur un et immédiatement copiées sur l’autre ; les disques contiennent donc les mêmes données, c’est pour cela qu’on appelle le RAID 1 « miroir ».

Lorsqu’un disque dur est défectueux, les données restent accessibles via les autres disques. Ainsi, plus il y a  de disques, plus grande est la sécurité de vos données.

Le RAID 1 a également un autre avantage : si le NAS lui-même tombe en panne, il est possible de retirer les disques durs de l’appareil et de les brancher directement sur un ordinateur, ce qui n’est pas envisageable avec les disques constituant une grappe RAID 0, RAID 5 ou RAID 6 dont les données sont entrelacées et réparties sur les disques. En générale, les grappes RAID 1 contiennent deux disques ; leur capacité totale équivaut à celle du plus petit.

Exemple : si vous combinez deux disques de 2 To, la capacité totale atteint 2 To, soit la moitié de la capacité achetée. Par contre, si vous combinez un disque de 500 Go et un 2 To en RAID 1, la capacité totale de la grappe n’est que de 500 Go. Autant dire qu’il est essentiel d’éviter les grosses disparités.

Orienté sécurité, le RAID 1 duplique automatiquement l’ensemble de vos données sur deux (ou plus) disques durs. Ainsi lorsqu’un disque tombe en panne les données restent accessibles via les autre disques fonctionnels. Il suffira alors de remplacer le disque défectueux par un disque sain pour que les données soient à nouveau dupliquées. Ce système n’apporte pas de gain de performances et se fait au détriment de la capacité. En effet, avec un système de deux disques de 300 Go en RAID 1, seuls 300 Go pourront être utilisés par l’utilisateur (les 300 Go restants sont utilisés pour la duplication des données).

Le conseil de l’Expert en récupération de données : il arrive parfois que la carte controlleur du RAID1 soit en court circuit. Comme les deux disques du RAID 1 sont branchés sur la même carte contrôleur, la surcharge électrique peut endommager les deux disques en même temps ! Pour palier cela pensez à brancher chaque disque dur avec un cordon d’alimentation différent sur le un bloc d’alimentation de l’ordinateur. Prenez un modèle modulaire de type Corsair HX850i  qui gère de manière distincte chaque approvisionnement électrique 12V. C’est plus cher… mais beaucoup plus fiable.

RAID 10 :  la performance d’un RAID0 et la sécurité d’un RAID1

Pour comprendre la configuration du RAID 10, il faut avant tout détailler les RAID 1 et RAID 0 qui la composent. En premier lieu, le RAID 1 est un ensemble de deux disques durs, dont l’un est utilisé en miroir afin de sécuriser les données stockées. Ce système de clonage présente une haute tolérance aux pannes et convient donc au stockage des données sensibles. Le RAID 0 est un système qui permet de répartir les informations stockées sur plusieurs disques durs grâce à un entrelacement des données. Le temps d’accès est alors accéléré.

Le RAID 10, également appelé RAID 1+0 consiste à assembler deux ou plusieurs unités RAID 1 en un ensemble RAID 0. En clair, deux disques durs sont assemblés en RAID 1, deux autres disques durs sont assemblés de manière identique et ainsi de suite. Il faut donc un minimum de quatre disques et toujours en nombre pair. Une grappe ainsi assemblée forme ainsi une unité logique qui sera associée avec d’autres grappes pour permettre un entrelacement comme c’est le cas d’un système RAID 0. La redondance des données dans chaque sous-unité permet de garantir leur sécurité, tandis que la répartition des données sur plusieurs unités logiques accélère la lecture et l’écriture. Il y a l’inverse qui est appelé RAID 01, la tolérance aux pannes est moins importante, étant donné qu’un sous-ensemble RAID 0 défaillant impacte sur l’ensemble de la performance.

Le conseil de l’Expert en récupération de données : le raid 10 et 01 est très peu utilisé et pour sûr ! 2 disques sont sacrifiés au prix de la fiabilité. Sur un total de 4 disques vous n’exploitez que la taille mémoire de deux disques.

RAID5 : la solution la plus utilisée… à tort ?

Le RAID 5 est la moins performante des 3 solutions mais apporte l’un des plus hauts niveaux de sécurité. Les données sont copiées sur l’ensemble des disques et, en cas de panne de l’un des disques, les disques restants peuvent continuer de fonctionner normalement ou presque (en mode « dégradé »). Si vous changez le disque dur en panne, le RAID5 est capable de se reconstruire en incluant ce nouveau disque dur. La reconstruction des données peut durer de nombreuses heures voir plusieurs jours, pendant ce temps les performances d’écriture/lecture sont fortement dégradées.

Le RAID 5 utilise au moins trois disques durs et répartit les données sur plusieurs disques durs pour gagner en performance grâce à l’accès simultané, mais à la différence du RAID 0, le RAID 5 inclut des codes de correction (les bits de parité) entre les données.

L’inconvénient c’est donc que vous perdez la capacité d’un disque dur sur l’ensemble du RAID. Pour 5 disques durs en RAID5 la capacité totale de stockage est donc abaissée à celle de 4 disques seulement. On dit que le 5ème disque est un disque utilisé pour la parité mais c’est un abus de langage, le 5ème disque est utilisé comme les autres mais la parité est répartie sur tous les disques successivement de sorte que la taille totale des données de parité correspond à la capacité d’un disque dur.

Le RAID 5 est donc bien plus sûr que le RAID 0, mais offre beaucoup moins de performances d’écriture/lecture. Ces performance sont tout de même supérieures à celle d’un disque dur seul non RAID. Et plus vous rajoutez de disques dans le RAID5, plus vous accélérez les performances.

Le conseil de l’Expert en récupération de données : en théorie et dans la pratique, si un disque dur est en panne on peut l’enlever à chaud (donc sans éteindre l’ordinateur) et le remplacer par un nouveau disque dur. Attention, si ce disque contenait des données elles seront toutes écrasées. Dans la pratique ce n’est pas toujours comme cela que la reconstruction se passe et toute la grappe RAID peut s’en voir corrompue. Nous vous suggérons donc de faire une sauvegarde de vos données sur un autre disque ou RAID avant de changer (à froid ou à chaud) un disque. Le RAID5 ne tolère que la panne d’un seul disque pour continuer à fonctionner. Et nous savons, en qualité d’experts en récupération de données RAID qu’il arrive trop souvent qu’un deuxième disque tombe en panne avant que l’informaticien ne s’en aperçoive. C’est pourquoi toutes les entreprises devraient utiliser un RAID6 qui tolère la panne de DEUX disques durs simultanément.

RAID6 : Fiabilité & performance !

Si votre carte RAID sait créer un RAID6 alors c’est cette configuration que vous devriez adopter ! Le RAID6 utilise les mêmes caractéristiques en terme de performances que le RAID5 mais au lieu d’avoir une tolérance de panne d’un seul disque il peut fonctionner même si DEUX disques durs tombent en panne. Le RAID6 utilise la technologie de la double parité de données ce qui lui fait perdre la capacité de deux disques durs. Si vous avez un RAID6 en 8 disques, la capacité de stockage en sera réduite à celle de 6 disques durs. Il faut 4 disques au minimum pour configurer une grappe RAID de niveau 6.

Le conseil de l’Expert en récupération de données : en adoptant le RAID6 vous ne devriez jamais avoir besoin de Chronodisk pour récupérer vos données perdues. A moins que vous ne soyez excessivement négligeant et que vous attendiez que 3 disques durs tombent en panne avant de réagir. Sachez qu’en cas de panne, le prix de la récupération de données ne dépend pas du type de RAID utilisé mais du nombre de disques utilisés dans le RAID ainsi que de la gravité de la panne de chaque disque (panne logique/désynchronisation de la grappe, panne mécanique, plateaux abîmés par des secteurs morts, etc.). Au delà de 4 disques le prix ne croit plus autant avec le nombre de disques. Le diagnostic et l’estimé sont sans frais jusqu’à quatre disques dans notre laboratoire mais pour les grappes RAID de 5 disques et plus le diagnostic-devis est chargé 90$+tx par disque. Ce diagnostic est toujours garanti en moins de 5 heures, ce qui reste assez unique au Canada et ailleurs dans le monde.

Quelques statistiques du département RAID de Chronodisk : 

Pour les centaines de RAID 5 que nous avons eu à résoudre ces 12 dernières années au Québec et en France, les quelques rares cas dans lesquels la récupération de données s’est avérée impossible c’est dans 90% des cas en raison des manipulations de l’utilisateur qui, en cherchant à résoudre par lui-même le problème, a aggravé les symptômes. Les données ont de ce fait été écrasées ou désynchronisées de manière irrémédiable. Dans 10% des situations c’est en raison d’un disque dur de trop qui est tombé en panne mécanique lourde, les plateaux étaient trop abîmés pour pouvoir réaliser un clone et reconstruire la grappe RAID (cas d’incendie notamment).

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Chronodisk récupération de données disque SSD
LA RÉCUPÉRATION DE DONNÉES SUR SSD, PAS SI FACILE ! (VOIRE IMPOSSIBLE)

Le disque SSD, un support de stockage rapide et résistant.

Le disque SSD a la particularité d’utiliser des puces mémoire flash comme les clés USB et non pas un plateau rotatif à surface magnétique comme les disques durs. Les supports de stockage à technologie flash  se font de plus en plus nombreux et de plus en plus accessibles.

Avec une espérance de vie durable (d’environ cinq ans si l’usage est fréquent sans être trop intensif), c’est un matériel électronique très réactif, beaucoup moins gourmand en énergie que le disque dur traditionnel et avec un démarrage et lancement du système d’exploitation et des programmes ultra-rapide. Sur un disque dur, la vitesse de lecture avoisine les 50 à 100 Mo par seconde, tandis que sur un SSD elle se situe entre 300 Mo/s pour les disques d’entrée de gamme et jusqu’à 3000 Mo/s pour les plus performants. Le disque SSD dispose aussi d’une meilleure fiabilité (au chocs physiques notamment) en comparaison du disque dur traditionnel. Il est par ailleurs très pratique de par sa petite taille (format 2.5 pouces).

La principale différence entre le disque dur traditionnel et le disque SSD est que ce dernier ne contient pas de pièces mobiles pour le stockage des données. Par conséquent, la vitesse de lecture est plus rapide et il a l’avantage de faire peu ou pas de bruit par rapport à son prédécesseur.

Certains SSD deviennent un barrage à la récupération de données

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Mais ne vous y trompez pas ! La récupération des données sur un SSD peut s’avérer beaucoup plus laborieuse et incertaine que sur un disque dur mécanique. En particulier si une panne électronique ou une toute petite surtension intervient pendant le fonctionnement du support. Pas besoin d’une salle blanche pour démonter et traiter un disque SSD, c’est donc moins cher me direz-vous pour récupérer les données ? Hé bien non ! C’est même le contraire, car cela nécessite énormément de temps ingénieur : chaque puce mémoire d’un SSD doit être dessoudée une à une à l’infrarouge (il y en a souvent 8 par face, comptez donc 16 puces mémoire Flash pour un disque 128 Go par exemple), et c’est ensuite que le casse-tête peut commencer. Il s’agit de retrouver l’ordre d’entrelacement des 8 ou 16 puces en RAID5 comme s’il s’agissait d’un serveur RAID en 8 ou 16 disques. Un travail de Titan.

Dans certains cas, que nous rencontrons de plus en plus fréquemment chez Chronodisk, la récupération des données devient carrément impossible en raison de l’architecture même de montage du support SSD :

  • C’est souvent le dernier des soucis de la part d’un constructeur que de prévoir et de faciliter la récupération des données sur son support mémoire en cas de panne matérielle, et c’est encore plus vrai pour certains disques SSD tel que le modèle Kingston SSDNow Ms qui utilise un contrôleur Sandforce. Le même contrôleur SandForce est utilisé chez Seagate pour certains de ses disques SSD ou même mécaniques SATA, chez Transcend pour ses clés USB… Et dans 50% des ordinateurs portables Mac Book de dernière génération il s’agit du même contrôleur qui générera dans les prochains mois de gros problèmes de récupération de données impossibles… Ce type de contrôleur crypte en 128 bits l’accès aux données. Il suffit que le contrôleur soit endommagé et il n’existe alors aucune solution pour décrypter l’accès aux données.

  • D’autre part, le disque SSD supporte un nombre limité de cycles de lecture-écriture et d’effacement, ce qui est un gros inconvénient comparé au disque dur classique. Les cellules de mémoire flash s’usent au fur et à mesure de leur utilisation et ne retiennent pas les données indéfiniment ; ainsi elles ont tendance à s’effacer toutes seules en quelques années seulement et sans prévenir son utilisateur. Cela ne laisse souvent plus aucune trace à l’inverse d’un disque dur mécanique.

Un SSD se caractérise par ses chipsets mémoire (jusqu’à 16) entrelacés entre eux à la manière d’un RAID 5. Un véritable casse-tête pour nos ingénieurs.

En bref, si vous voulez néanmoins vous essayer au SSD, pour démarrer un ordinateur 10 fois plus rapidement qu’avec un disque dur classique, alors nous vous conseillons de conserver un deuxième disque dur mécanique pour y stocker avec plus de fiabilité vos données de travail. Privilégiez les contrôleurs Marvell, Intel et Samsung… C’est rarement écrit sur la boite du disque SSD ou Sata rotatif que vous achetez, il faut aller dénicher les spécifications du produit en ligne, sur le site du fabriquant, pour obtenir ce genre d’informations. Mais vous l’aurez compris nous vous déconseillons le contrôleur Sandforce.

Si vous voulez en connaitre davantage sur les SSD et découvrir son cœur de fonctionnement, nous avons sélectionné sur notre chaîne Youtube consacrée à la Récupération de données la vidéo experte suivante :

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La récupération de données : combien ça coûte ? Comment ça marche ?

LA RÉCUPÉRATION DE DONNÉES : LES QUESTIONS FRÉQUENTES 

Combien coûte une récupération de données ? Comment diagnostiquer soi-même la panne de son disque dur ? Peut-on réparer son disque dur soi-même ? Pourquoi les devis sont sans frais chez Chronodisk ? Quels sont les délais pour obtenir son devis ?

Nous allons tenter d’apporter des réponses à toutes ces questions que vous vous posez, toujours dans un soucis de transparence et d’équité.

  • Comment connaître la panne sur mon disque dur ou Raid ? 

Il existe 3 grands types de panne : logique, électronique et mécanique. Certaines sont inoffensives pour vos données mais d’autres peuvent les endommager ou les détruire définitivement.

Nous avons mis en place un estimé-diagnostic sans frais et sans engagement qui vous permet de faire diagnostiquer votre support (disque dur, SSD, RAID, clé USB…) en quelques heures. Profitez de ce service pour connaitre le type de panne, les délais et le meilleur tarif pour la récupération de vos données.

  • Pourquoi les devis sont-ils sans frais chez Chronodisk ?

Chronodisk a été le premier laboratoire au monde a offrir le devis sans frais et sans engagement à tous ses clients, contre 150 à 600$ chez tous les autres compétiteurs. Nous avons aussi été les premiers à faire considérablement baisser le coût des récupérations sur les pannes électromécaniques en salle blancheIl y a 12 ans, avant l’apparition de Chronodisk, il fallait compter entre 3500$ et 7500$ par disque pour retrouver ses données.

Chronodisk récupération de données
En analysant le signal électrique d’entrée et de sortie du disque dur cela permet d’obtenir des indications plus précises sur le type de panne à réparer en salle blanche.

  • Mon support est chiffré / protégé, que se passe-t-il dans ce cas ?

Pour récupérer des données cryptées, il est indispensable de connaître le mot de passe, de posséder la clef de chiffrement, le certificat ou le token.

Si vous avez perdu les clefs de chiffrement, ou si vous avez oublié le mot de passe, nous ne tenterons pas la récupération de vos données, elles seraient dans tous les cas illisibles.En revanche, nous pouvons contourner les mots de passe ATA d’accès aux disques durs ou les mots de passe des documents Microsoft office. Ils protègent vos documents sans les chiffrer. Si vous avez un doute sur la protection que vous avez installé sur votre disque, contactez-nous.

Les tests de fichiers ne sont possibles que si les fichiers sont décryptés.

  • Quels sont les délais pour obtenir mon devis ? 

Vous recevez les résultats de l’estimé-diagnostic sous 2 à 6 heures après nous avoir déposé votre support.

Les instructions pour donner votre accord sur l’estimé seront indiquées dans l’email

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Disque dur ouvert en salle blanche avec son plateau central et son bras de têtes de lecture

  • Quels sont les taux de réussite ? 

Proche de 100% quand les plateaux internes sont parfaitement sains. Il n’y a que pour les chutes à terre que le pourcentage descend en dessous de 50% de réussite car les plateaux s’en trouvent très abîmés. Surtout si le disque dur subit un choc alors qu’il était en train de fonctionner.

Dans tous les cas, le forfait de récupération n’est pas facturé quand la récupération est impossible

  • Vais je récupérer l’ensemble de mes données ? 

Aucun laboratoire ne peut vous affirmer à 100% que vos données seront récupérées en totalité et en bon état de fonctionnement sans avoir effectué la récupération effective.

Nous avons les meilleurs outils pour tenter plusieurs méthodes d’extraction lorsque les fichiers ne conviennent pas.

Dès la fin de l’extraction nos techniciens vérifient les fichiers prioritaires que vous nous avez indiqués. Et, un listing au format TXT vous est immédiatement envoyé par mail. Vous pourrez y retrouver l’ensemble des noms de dossiers et fichiers organisés en arborescence comme dans votre explorateur. Apres vérification par vos soins et accord sur ce listing, nous lancerons une copie sur un support sain.

  • Pourquoi la récupération de données est parfois si coûteuse ? 

Nous faisons tout pour proposer des prestations de qualité à des prix justes. Nous utilisons les technologies les plus évoluées et un matériel coûteux qui doit être renouvelé régulièrement.

Nous ne prenons aucun risque avec votre support. Un disque traité en dehors d’un laboratoire par des personnes incompétentes dans l’extraction de données peut être fatal et cause des dommages irréversibles, rendant par la même occasion toutes les récupérations ultérieures.

Qui sommes-nous ? Récupération de données
Chronodisk récupération de données (chef d'orchestre)
Chronodisk sauve les compositions du célèbre chef d’orchestre Airat I.

Chronodisk sauve les compositions d’un célèbre chef d’orchestre

Chronodisk récupération de données (main chef d'orchestre )

Imaginez-vous chef d’orchestre et compositeur. Toutes vos données sont stockées sur un disque dur et un mauvais jour, vos précieuses notes de musique disparaissent ! C’est ce qui arrivé à Airat I. , célèbre compositeur russe-canadien.

Quelques semaines avant d’inaugurer une tournée au Québec, il branche son disque dur Western Digital caviar black (1TB) et un petit bruit se fait entendre : le « click of death », c’est alors que l’ordinateur se bloque. L’accès au disque dur ne se fait plus. Aucune copie possible. Le disque dur meurt avec toutes ses compositions 2016 dans un léger ronflement de cylindres à peine perceptible. Il a donc cherché des experts en récupération de données et choisi Chronodisk Montréal. Experts dans ce domaine, nous récupérons vos données sur toutes types de supports amovibles (USB, carte SD, RAID, disque SSD) et assurons totales confidentialité de vos données !

Il nous confie son disque dur pour récupération. Après l’estimé-diagnostic sans frais et sans engagement, nous avons détecté qu’une des têtes de lecture du disque était très fatiguée. Nous avons tenté de copier les trois autres et suite à une intervention en salle blanche, les nouvelles têtes de lecture ont réussi à copier le reste.

Toutes ses compositions de 2016 ont été sauvées sans corruption et nous sommes fiers d’avoir pu récupérer une symphonie qui restera peut-être dans l’histoire !

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