Chronodisk récupération de données Ransomware
Ransomware : récupération des données après un virus
    

  • Un Ransomware, qu’est ce que c’est ?

Ils s’appellent locky, petya… vous en avez certainement entendu parler sur des sites technos ou même dans les médias d’informations, il s’agit des derniers virus « à la mode » :  les Ransomwares (littéralement rancongiciel)

Le principe est simple, une fois votre ordinateur contaminé, ce dernier se bloque et un message apparaît vous demandant d’envoyer de l’argent (parfois jusqu’à plus d’un million de dollars lorsqu’il s’agit d’instituions gouvernementales, financières ou même hospitalières) pour pouvoir continuer à utiliser votre ordinateur et surtout récupérer vos précieuses données.

Tant que vous ne payez pas cette rançon l’accès à votre machine est totalement bloquée, vos données sont prises en otage et l’auteur du virus est la seule personne à pouvoir vous les restituer.

Le meilleur moyen d’éviter le virus reste la prévention. Équipez vous d’un bon antivirus et mettez le à jour régulièrement. Il existe des milliers de ransomwares différents et de nouveaux sont créés chaque jour.
Les e-mails sont le moyen de propagation le plus répandu pour les ransomwares. Soyez donc prudent si vous recevez des mails d’expéditeurs suspicieux et n’ouvrez surtout pas les pièces jointes.
Assurez vous aussi de télécharger des fichiers sur des sites que vous connaissez et qui ont une bonne réputation. Si votre antivirus vous alerte, faites demi-tour, ne prenez pas le risque car une fois votre disque dur contaminé il vous est IMPOSSIBLE de vous en débarrasser sans effectuer un formatage complet de votre ordinateur. Les fichiers sont cryptés par des algorithmes que seuls leurs créateurs connaissent.

  • Mon ordinateur est contaminé 🙁   que dois je faire ?

Vous avez été infecté par un ransomware par inadvertance ou tout simplement par malchance ! Vous aurez beau redémarrer votre ordinateur à l’infini, passer en mode sans échec ou extraire le disque pour le brancher sur un autre poste, le résultat sera toujours le même.

Voici les solutions qui s’offrent à vous :

Vous faites confiance à votre « ravisseur » et acceptez de verser la rançon demandée (généralement en dollars, euros ou bitcoins). Le soucis c’est que rien ne garantit la bonne foi du pirate, vous risquez donc de payer pour…du vent ! D’autres pirates utilisent la méthode en plusieurs fois en vous faisant croire que toutes les données vous seront livrées si vous payez la rançon. Seulement une fois le virement effectué, ils ne vous livrent qu’une partie des données, et vous demandent à nouveau un virement pour le reste des données…et cela peut grimper TRÈS vite. Il existe cependant des cas ou toutes les données sont livrées après le paiement de la rançon. Le choix de prendre ce risque vous appartient mais restez extrêmement vigilant et ne prenez pas de décision trop rapidement.

Récemment un hôpital victime d’un ransomware à accepté de payer la rançon en bitcoins (monnaie virtuelle sous forme de jetons), sauf qu’ils n’ont jamais récupéré leurs données.

Si jamais vous avez eu le réflexe de sauvegarder vos données sur le cloud, vous pouvez changer de disque et réinstaller vos données en local. Dans le cas où une partie des données étaient stockées sur un ancien disque dur mais formaté, une clé usb ou autre, le laboratoire Chronodisk peut tenter une récupération des données sur cet ancien support de stockage.
Enfin il existe des solutions développées par des pirates et des experts en sécurité pour contourner les ransomwares, car oui les pirates ne sont pas que néfastes et ce sont souvent eux qui sont à l’origine des meilleurs antivirus, et certains créent des virus tellement puissants et tellement répandus qu’ils créent un antivirus, un peu à la manière du chimiste qui crée un poison mortel et son antidote.

  • La récupération de données sur un disque dur contaminé par un ransomware

Le laboratoire Chronodisk reçoit de plus en plus fréquemment des disques durs infectés par des ransomwares. On ne peut pas le cacher, il est très difficile de garantir à 100% la récupération des données à nos clients dans ces cas très particuliers.
Comme il existe plusieurs types de virus, il existe plusieurs types de ransomwares. Dans de nombreux cas, nos spécialistes en récupération de données ont réussi à libérer ces données « prises en otage ». Mais suivant la complexité du ransomware il est parfois tout bonnement impossible de récupérer ne serait-ce une photo.

Nous vous recommandons une nouvelle fois d’être le plus prudent possible avec vos mails et lors de vos consultations sur internet, les ransomwares ne sont qu’un danger parmi d’autres…

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Quel RAID pour protéger efficacement ses données ?

Vous envisagez l’achat d’un NAS ou d’un RAID pour y stocker des données importantes ? Nous allons vous présenter les différents avantages et inconvénients de chaque configuration, du raid0 au raid 5 en passant par le raid1 et le raid6 méconnus à tort.

Pour monter un système RAID vous trouverez de nombreux tutoriels sur le net. Voici les configurations RAID les plus répandues, il en existe encore bien davantage :

  • RAID 0 : appelé etendu 
  • RAID 1 : appelé mirroringshadowing ou duplexing
  • RAID 2 : appelé striping with parity (obsolète)
  • RAID 3 : appelé disk array with bit-interleaved data
  • RAID 4 : appelé disk array with block-interleaved data
  • RAID 5 : appelé disk array with block-interleaved distributed parity
  • RAID 6 : appelé disk array with block-interleaved distributed parity

RAID 0 ou RAID « stripping » : la performance sans filet de sécurité.

En mode RAID 0, tous vos disques durs sont combinés en un seul et même disque, les données sont ainsi réparties entre tous les disques . Si le RAID 0 s’avère plus rapide il a l’inconvénient d’être plus fragile, en effet si l’un des disques tombe en panne c’est tout le RAID qui tombe en panne. C’est à dire que vous ne pourrez pas lire les données qui se trouvent sur les autres disques fonctionnels. En résumé, plus de performances, mais plus fragile.

En RAID 0, la capacité totale disponible est également à la somme des capacités des disques durs physiques, à la condition que ceux-ci aient tous la même taille. En cas de différence, c’est la capacité du disque le plus petit qui est prise en compte, multipliée par le nombre de disques ; les autres ne seront donc que partiellement utilisés. Le raid0 offre les meilleurs performances mais une sécurité inexistante. Les données sont stockées sur l’ensemble des disques.

Le conseil de l’Expert en récupération de données : ne pas utiliser plus de deux disques en RAID0. Nous avons déjà vu un RAID0 monté avec 48 disques de 4To chacun (une société de production vidéo). Des performances record en écriture/lecture.. mais une fiabilité épouvantable ! Imaginez… Si un seul disque des 48 tombe en panne et n’est pas récupérable (panne mécanique avec plateaux rayés par la tête de lecture), toutes les données sont corrompues ! Et même si ce 48ème disque est récupéré en salle blanche, la facture finale sera presque 24 fois le montant d’une récupération de données pour un RAID0 en 2 disques.

Le RAID0 n’est donc pas une solution valable pour sécuriser vos données. On l’adoptera uniquement pour des traitements de calculs lourds (statistiques, logiciel SAS, traitement vidéo post-production, imagerie 3D…) et pour des données temporaires non vitales.

RAID1 ou RAID « miroir » : le dédoublement de personnalité.

Le mode RAID 1 (« mirroring ») représente le moyen d’obtenir un stockage redondant et donc d’augmenter la durée de vie de vos données en cas de défaillance du disque. Dans une grappe RAID 1 composée de deux disques, les données sont écrites sur un et immédiatement copiées sur l’autre ; les disques contiennent donc les mêmes données, c’est pour cela qu’on appelle le RAID 1 « miroir ».

Lorsqu’un disque dur est défectueux, les données restent accessibles via les autres disques. Ainsi, plus il y a  de disques, plus grande est la sécurité de vos données.

Le RAID 1 a également un autre avantage : si le NAS lui-même tombe en panne, il est possible de retirer les disques durs de l’appareil et de les brancher directement sur un ordinateur, ce qui n’est pas envisageable avec les disques constituant une grappe RAID 0, RAID 5 ou RAID 6 dont les données sont entrelacées et réparties sur les disques. En générale, les grappes RAID 1 contiennent deux disques ; leur capacité totale équivaut à celle du plus petit.

Exemple : si vous combinez deux disques de 2 To, la capacité totale atteint 2 To, soit la moitié de la capacité achetée. Par contre, si vous combinez un disque de 500 Go et un 2 To en RAID 1, la capacité totale de la grappe n’est que de 500 Go. Autant dire qu’il est essentiel d’éviter les grosses disparités.

Orienté sécurité, le RAID 1 duplique automatiquement l’ensemble de vos données sur deux (ou plus) disques durs. Ainsi lorsqu’un disque tombe en panne les données restent accessibles via les autre disques fonctionnels. Il suffira alors de remplacer le disque défectueux par un disque sain pour que les données soient à nouveau dupliquées. Ce système n’apporte pas de gain de performances et se fait au détriment de la capacité. En effet, avec un système de deux disques de 300 Go en RAID 1, seuls 300 Go pourront être utilisés par l’utilisateur (les 300 Go restants sont utilisés pour la duplication des données).

Le conseil de l’Expert en récupération de données : il arrive parfois que la carte controlleur du RAID1 soit en court circuit. Comme les deux disques du RAID 1 sont branchés sur la même carte contrôleur, la surcharge électrique peut endommager les deux disques en même temps ! Pour palier cela pensez à brancher chaque disque dur avec un cordon d’alimentation différent sur le un bloc d’alimentation de l’ordinateur. Prenez un modèle modulaire de type Corsair HX850i  qui gère de manière distincte chaque approvisionnement électrique 12V. C’est plus cher… mais beaucoup plus fiable.

RAID 10 :  la performance d’un RAID0 et la sécurité d’un RAID1

Pour comprendre la configuration du RAID 10, il faut avant tout détailler les RAID 1 et RAID 0 qui la composent. En premier lieu, le RAID 1 est un ensemble de deux disques durs, dont l’un est utilisé en miroir afin de sécuriser les données stockées. Ce système de clonage présente une haute tolérance aux pannes et convient donc au stockage des données sensibles. Le RAID 0 est un système qui permet de répartir les informations stockées sur plusieurs disques durs grâce à un entrelacement des données. Le temps d’accès est alors accéléré.

Le RAID 10, également appelé RAID 1+0 consiste à assembler deux ou plusieurs unités RAID 1 en un ensemble RAID 0. En clair, deux disques durs sont assemblés en RAID 1, deux autres disques durs sont assemblés de manière identique et ainsi de suite. Il faut donc un minimum de quatre disques et toujours en nombre pair. Une grappe ainsi assemblée forme ainsi une unité logique qui sera associée avec d’autres grappes pour permettre un entrelacement comme c’est le cas d’un système RAID 0. La redondance des données dans chaque sous-unité permet de garantir leur sécurité, tandis que la répartition des données sur plusieurs unités logiques accélère la lecture et l’écriture. Il y a l’inverse qui est appelé RAID 01, la tolérance aux pannes est moins importante, étant donné qu’un sous-ensemble RAID 0 défaillant impacte sur l’ensemble de la performance.

Le conseil de l’Expert en récupération de données : le raid 10 et 01 est très peu utilisé et pour sûr ! 2 disques sont sacrifiés au prix de la fiabilité. Sur un total de 4 disques vous n’exploitez que la taille mémoire de deux disques.

RAID5 : la solution la plus utilisée… à tort ?

Le RAID 5 est la moins performante des 3 solutions mais apporte l’un des plus hauts niveaux de sécurité. Les données sont copiées sur l’ensemble des disques et, en cas de panne de l’un des disques, les disques restants peuvent continuer de fonctionner normalement ou presque (en mode « dégradé »). Si vous changez le disque dur en panne, le RAID5 est capable de se reconstruire en incluant ce nouveau disque dur. La reconstruction des données peut durer de nombreuses heures voir plusieurs jours, pendant ce temps les performances d’écriture/lecture sont fortement dégradées.

Le RAID 5 utilise au moins trois disques durs et répartit les données sur plusieurs disques durs pour gagner en performance grâce à l’accès simultané, mais à la différence du RAID 0, le RAID 5 inclut des codes de correction (les bits de parité) entre les données.

L’inconvénient c’est donc que vous perdez la capacité d’un disque dur sur l’ensemble du RAID. Pour 5 disques durs en RAID5 la capacité totale de stockage est donc abaissée à celle de 4 disques seulement. On dit que le 5ème disque est un disque utilisé pour la parité mais c’est un abus de langage, le 5ème disque est utilisé comme les autres mais la parité est répartie sur tous les disques successivement de sorte que la taille totale des données de parité correspond à la capacité d’un disque dur.

Le RAID 5 est donc bien plus sûr que le RAID 0, mais offre beaucoup moins de performances d’écriture/lecture. Ces performance sont tout de même supérieures à celle d’un disque dur seul non RAID. Et plus vous rajoutez de disques dans le RAID5, plus vous accélérez les performances.

Le conseil de l’Expert en récupération de données : en théorie et dans la pratique, si un disque dur est en panne on peut l’enlever à chaud (donc sans éteindre l’ordinateur) et le remplacer par un nouveau disque dur. Attention, si ce disque contenait des données elles seront toutes écrasées. Dans la pratique ce n’est pas toujours comme cela que la reconstruction se passe et toute la grappe RAID peut s’en voir corrompue. Nous vous suggérons donc de faire une sauvegarde de vos données sur un autre disque ou RAID avant de changer (à froid ou à chaud) un disque. Le RAID5 ne tolère que la panne d’un seul disque pour continuer à fonctionner. Et nous savons, en qualité d’experts en récupération de données RAID qu’il arrive trop souvent qu’un deuxième disque tombe en panne avant que l’informaticien ne s’en aperçoive. C’est pourquoi toutes les entreprises devraient utiliser un RAID6 qui tolère la panne de DEUX disques durs simultanément.

RAID6 : Fiabilité & performance !

Si votre carte RAID sait créer un RAID6 alors c’est cette configuration que vous devriez adopter ! Le RAID6 utilise les mêmes caractéristiques en terme de performances que le RAID5 mais au lieu d’avoir une tolérance de panne d’un seul disque il peut fonctionner même si DEUX disques durs tombent en panne. Le RAID6 utilise la technologie de la double parité de données ce qui lui fait perdre la capacité de deux disques durs. Si vous avez un RAID6 en 8 disques, la capacité de stockage en sera réduite à celle de 6 disques durs. Il faut 4 disques au minimum pour configurer une grappe RAID de niveau 6.

Le conseil de l’Expert en récupération de données : en adoptant le RAID6 vous ne devriez jamais avoir besoin de Chronodisk pour récupérer vos données perdues. A moins que vous ne soyez excessivement négligeant et que vous attendiez que 3 disques durs tombent en panne avant de réagir. Sachez qu’en cas de panne, le prix de la récupération de données ne dépend pas du type de RAID utilisé mais du nombre de disques utilisés dans le RAID ainsi que de la gravité de la panne de chaque disque (panne logique/désynchronisation de la grappe, panne mécanique, plateaux abîmés par des secteurs morts, etc.). Au delà de 4 disques le prix ne croit plus autant avec le nombre de disques. Le diagnostic et l’estimé sont sans frais jusqu’à quatre disques dans notre laboratoire mais pour les grappes RAID de 5 disques et plus le diagnostic-devis est chargé 90$+tx par disque. Ce diagnostic est toujours garanti en moins de 5 heures, ce qui reste assez unique au Canada et ailleurs dans le monde.

Quelques statistiques du département RAID de Chronodisk : 

Pour les centaines de RAID 5 que nous avons eu à résoudre ces 12 dernières années au Québec et en France, les quelques rares cas dans lesquels la récupération de données s’est avérée impossible c’est dans 90% des cas en raison des manipulations de l’utilisateur qui, en cherchant à résoudre par lui-même le problème, a aggravé les symptômes. Les données ont de ce fait été écrasées ou désynchronisées de manière irrémédiable. Dans 10% des situations c’est en raison d’un disque dur de trop qui est tombé en panne mécanique lourde, les plateaux étaient trop abîmés pour pouvoir réaliser un clone et reconstruire la grappe RAID (cas d’incendie notamment).

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Chronodisk récupération de données disque SSD
LA RÉCUPÉRATION DE DONNÉES SUR SSD, PAS SI FACILE ! (VOIRE IMPOSSIBLE)

Le disque SSD, un support de stockage rapide et résistant.

Le disque SSD a la particularité d’utiliser des puces mémoire flash comme les clés USB et non pas un plateau rotatif à surface magnétique comme les disques durs. Les supports de stockage à technologie flash  se font de plus en plus nombreux et de plus en plus accessibles.

Avec une espérance de vie durable (d’environ cinq ans si l’usage est fréquent sans être trop intensif), c’est un matériel électronique très réactif, beaucoup moins gourmand en énergie que le disque dur traditionnel et avec un démarrage et lancement du système d’exploitation et des programmes ultra-rapide. Sur un disque dur, la vitesse de lecture avoisine les 50 à 100 Mo par seconde, tandis que sur un SSD elle se situe entre 300 Mo/s pour les disques d’entrée de gamme et jusqu’à 3000 Mo/s pour les plus performants. Le disque SSD dispose aussi d’une meilleure fiabilité (au chocs physiques notamment) en comparaison du disque dur traditionnel. Il est par ailleurs très pratique de par sa petite taille (format 2.5 pouces).

La principale différence entre le disque dur traditionnel et le disque SSD est que ce dernier ne contient pas de pièces mobiles pour le stockage des données. Par conséquent, la vitesse de lecture est plus rapide et il a l’avantage de faire peu ou pas de bruit par rapport à son prédécesseur.

Certains SSD deviennent un barrage à la récupération de données

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Mais ne vous y trompez pas ! La récupération des données sur un SSD peut s’avérer beaucoup plus laborieuse et incertaine que sur un disque dur mécanique. En particulier si une panne électronique ou une toute petite surtension intervient pendant le fonctionnement du support. Pas besoin d’une salle blanche pour démonter et traiter un disque SSD, c’est donc moins cher me direz-vous pour récupérer les données ? Hé bien non ! C’est même le contraire, car cela nécessite énormément de temps ingénieur : chaque puce mémoire d’un SSD doit être dessoudée une à une à l’infrarouge (il y en a souvent 8 par face, comptez donc 16 puces mémoire Flash pour un disque 128 Go par exemple), et c’est ensuite que le casse-tête peut commencer. Il s’agit de retrouver l’ordre d’entrelacement des 8 ou 16 puces en RAID5 comme s’il s’agissait d’un serveur RAID en 8 ou 16 disques. Un travail de Titan.

Dans certains cas, que nous rencontrons de plus en plus fréquemment chez Chronodisk, la récupération des données devient carrément impossible en raison de l’architecture même de montage du support SSD :

  • C’est souvent le dernier des soucis de la part d’un constructeur que de prévoir et de faciliter la récupération des données sur son support mémoire en cas de panne matérielle, et c’est encore plus vrai pour certains disques SSD tel que le modèle Kingston SSDNow Ms qui utilise un contrôleur Sandforce. Le même contrôleur SandForce est utilisé chez Seagate pour certains de ses disques SSD ou même mécaniques SATA, chez Transcend pour ses clés USB… Et dans 50% des ordinateurs portables Mac Book de dernière génération il s’agit du même contrôleur qui générera dans les prochains mois de gros problèmes de récupération de données impossibles… Ce type de contrôleur crypte en 128 bits l’accès aux données. Il suffit que le contrôleur soit endommagé et il n’existe alors aucune solution pour décrypter l’accès aux données.

  • D’autre part, le disque SSD supporte un nombre limité de cycles de lecture-écriture et d’effacement, ce qui est un gros inconvénient comparé au disque dur classique. Les cellules de mémoire flash s’usent au fur et à mesure de leur utilisation et ne retiennent pas les données indéfiniment ; ainsi elles ont tendance à s’effacer toutes seules en quelques années seulement et sans prévenir son utilisateur. Cela ne laisse souvent plus aucune trace à l’inverse d’un disque dur mécanique.

Un SSD se caractérise par ses chipsets mémoire (jusqu’à 16) entrelacés entre eux à la manière d’un RAID 5. Un véritable casse-tête pour nos ingénieurs.

En bref, si vous voulez néanmoins vous essayer au SSD, pour démarrer un ordinateur 10 fois plus rapidement qu’avec un disque dur classique, alors nous vous conseillons de conserver un deuxième disque dur mécanique pour y stocker avec plus de fiabilité vos données de travail. Privilégiez les contrôleurs Marvell, Intel et Samsung… C’est rarement écrit sur la boite du disque SSD ou Sata rotatif que vous achetez, il faut aller dénicher les spécifications du produit en ligne, sur le site du fabriquant, pour obtenir ce genre d’informations. Mais vous l’aurez compris nous vous déconseillons le contrôleur Sandforce.

Si vous voulez en connaitre davantage sur les SSD et découvrir son cœur de fonctionnement, nous avons sélectionné sur notre chaîne Youtube consacrée à la Récupération de données la vidéo experte suivante :

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La récupération de données : combien ça coûte ? Comment ça marche ?

LA RÉCUPÉRATION DE DONNÉES : LES QUESTIONS FRÉQUENTES 

Combien coûte une récupération de données ? Comment diagnostiquer soi-même la panne de son disque dur ? Peut-on réparer son disque dur soi-même ? Pourquoi les devis sont sans frais chez Chronodisk ? Quels sont les délais pour obtenir son devis ?

Nous allons tenter d’apporter des réponses à toutes ces questions que vous vous posez, toujours dans un soucis de transparence et d’équité.

  • Comment connaître la panne sur mon disque dur ou Raid ? 

Il existe 3 grands types de panne : logique, électronique et mécanique. Certaines sont inoffensives pour vos données mais d’autres peuvent les endommager ou les détruire définitivement.

Nous avons mis en place un estimé-diagnostic sans frais et sans engagement qui vous permet de faire diagnostiquer votre support (disque dur, SSD, RAID, clé USB…) en quelques heures. Profitez de ce service pour connaitre le type de panne, les délais et le meilleur tarif pour la récupération de vos données.

  • Pourquoi les devis sont-ils sans frais chez Chronodisk ?

Chronodisk a été le premier laboratoire au monde a offrir le devis sans frais et sans engagement à tous ses clients, contre 150 à 600$ chez tous les autres compétiteurs. Nous avons aussi été les premiers à faire considérablement baisser le coût des récupérations sur les pannes électromécaniques en salle blancheIl y a 12 ans, avant l’apparition de Chronodisk, il fallait compter entre 3500$ et 7500$ par disque pour retrouver ses données.

Chronodisk récupération de données
En analysant le signal électrique d’entrée et de sortie du disque dur cela permet d’obtenir des indications plus précises sur le type de panne à réparer en salle blanche.

  • Mon support est chiffré / protégé, que se passe-t-il dans ce cas ?

Pour récupérer des données cryptées, il est indispensable de connaître le mot de passe, de posséder la clef de chiffrement, le certificat ou le token.

Si vous avez perdu les clefs de chiffrement, ou si vous avez oublié le mot de passe, nous ne tenterons pas la récupération de vos données, elles seraient dans tous les cas illisibles.En revanche, nous pouvons contourner les mots de passe ATA d’accès aux disques durs ou les mots de passe des documents Microsoft office. Ils protègent vos documents sans les chiffrer. Si vous avez un doute sur la protection que vous avez installé sur votre disque, contactez-nous.

Les tests de fichiers ne sont possibles que si les fichiers sont décryptés.

  • Quels sont les délais pour obtenir mon devis ? 

Vous recevez les résultats de l’estimé-diagnostic sous 2 à 6 heures après nous avoir déposé votre support.

Les instructions pour donner votre accord sur l’estimé seront indiquées dans l’email

chronodisk récupération de données disque dur
Disque dur ouvert en salle blanche avec son plateau central et son bras de têtes de lecture

  • Quels sont les taux de réussite ? 

Proche de 100% quand les plateaux internes sont parfaitement sains. Il n’y a que pour les chutes à terre que le pourcentage descend en dessous de 50% de réussite car les plateaux s’en trouvent très abîmés. Surtout si le disque dur subit un choc alors qu’il était en train de fonctionner.

Dans tous les cas, le forfait de récupération n’est pas facturé quand la récupération est impossible

  • Vais je récupérer l’ensemble de mes données ? 

Aucun laboratoire ne peut vous affirmer à 100% que vos données seront récupérées en totalité et en bon état de fonctionnement sans avoir effectué la récupération effective.

Nous avons les meilleurs outils pour tenter plusieurs méthodes d’extraction lorsque les fichiers ne conviennent pas.

Dès la fin de l’extraction nos techniciens vérifient les fichiers prioritaires que vous nous avez indiqués. Et, un listing au format TXT vous est immédiatement envoyé par mail. Vous pourrez y retrouver l’ensemble des noms de dossiers et fichiers organisés en arborescence comme dans votre explorateur. Apres vérification par vos soins et accord sur ce listing, nous lancerons une copie sur un support sain.

  • Pourquoi la récupération de données est parfois si coûteuse ? 

Nous faisons tout pour proposer des prestations de qualité à des prix justes. Nous utilisons les technologies les plus évoluées et un matériel coûteux qui doit être renouvelé régulièrement.

Nous ne prenons aucun risque avec votre support. Un disque traité en dehors d’un laboratoire par des personnes incompétentes dans l’extraction de données peut être fatal et cause des dommages irréversibles, rendant par la même occasion toutes les récupérations ultérieures.

Qui sommes-nous ? Récupération de données
Comment choisir son mot de passe pour protéger ses données ?

Un bon mot de passe est indispensable pour assurer la protection de vos données.

Tout le monde en est aujourd’hui conscient, mais comment choisir son mot de passe… et s’en souvenir ?

Idées reçues sur le mot de passe idéal…

On entend dire partout qu’un bon mot de passe dit « sécurisé » doit être changé régulièrement. Qu’il doit être complexe avec alternance de majuscules et de minuscules, de caractères spéciaux et de nombres. Qu’il ne doit pas être simple à deviner, et qu’on doit en changer pour chaque compte ou chaque site internet. Et en plus il faut s’en souvenir !! Comment faire alors ?

Un bon mot de passe est-il forcément compliqué ?

Bill Burr, expert dans les recommandations sur les mots de passe aurait dit auparavant que le sécurité se base sur la complexité du mot de passe c’est-à-dire avec utilisation de caractères majuscules et minuscules, chiffres et autres caractères spéciaux.  A cela s’ajoutait, pour lui, la nécessité de changer de mot de passe tous les trois mois.

Cependant, il n’est aujourd’hui plus sûr de cette démarche et conseille même l’inverse ! En effet, choisir un mot de passe complexe maximise la chance de l’oublier et ne protège pas toujours aussi efficacement. Une fois un mot de passe difficile choisit, on aura tendance à le réutiliser sur d’autres sites, augmentant la chance de se faire pirater.

La protection des données se base sur un mot de passe difficile à définir d’un point de vue extérieur, c’est-à-dire dont seulement vous, et uniquement vous pourrait le trouver. Ainsi, il est déconseillé de mettre par exemple son prénom suivi de sa date de naissance (comme beaucoup de gens le font).

 

Mais concrètemene, que faut-il faire alors en termes de mot de passe? Le journal américian The Wall Street, a récemment interviewé Bill Burr, l’expert à l’origine des recommandations sur les mots de passe. Et surprise, celui-ci annonce des regrets par rapport aux préconisation qu’il savait pu faire à l’époque

Le journal américain The Wall Street Journal a récemment interviewé Bill Burr, l’expert à l’origine des recommandations sur les mots de passe. Et surprise, celui-ci annonce des regrets par rapport aux préconisations qu’il avait pu faire à l’époque.

En 2003, celui-ci avait conseillé d’utiliser des mots de passe plutôt complexes à mémoriser, avec utilisation de caractères majuscules et minuscules, mais aussi de chiffres et de caractères spéciaux.

Ces contraintes, nombreuses, s’avéreraient aujourd’hui caduques pour Bill Burr, d’autant plus que les utilisateurs n’opéraient que des réajustements lorsqu’ils changeaient leur mot de passe. Mais concrètement, que faut-il faire alors en termes de mot de passe ?

La nouvelle manière de créer ses mots de passe !

Le NIST, Le National Institute of Standards and Technology, vient donc de proposer de nouvelles règles, qui viennent ainsi éclairer l’usager à la recherche du mot de passe idéal. Le Business Insider à synthétiser ces recommandations, stipulant que “les mots de passe doivent être longs et faciles à retenir”.

Il n’est pas non plus nécessaire de les modifier si fréquemment que cela, mais seulement en cas d’attaque avérée. Il vaut mieux alors ne pas avoir le même mot de passe sur tous les sites. A cela s’ajoute la possibilité de passer à huit caractères au lieu de douze pour créer son mot de passe, si toutefois le dispositif technique restreint l’accès au compte après plusieurs échecs.

On peut même aller plus loin en ne proposant que cinq caractères, mais là aussi cela dépend de la sécurisation du site. C’est notamment le cas lorsque pour s’authentifier, lorsque l’adresse IP du terminal est aussi requise… C’est donc l’ensemble du dispositif de sécurité mis en place qui conditionne la complexité du mot de passe.

Il est donc recommandé aujourd’hui d’utiliser des séries de mots comme « orangeLondrestrenteAnschemise » ou des phrases complètes qui ont un sens pour vous tel que « j’aimemangerdesbarbesapapa ». Bien-sûr si vous utilisez un boitier Apple TV ou Freebox avec une simple télécommande et que vous devez sélectionnez un à un parmi une grille chacun de vos caractères secrets, vous risquez de regretter d’avoir choisi un mot de passe à 38 caractères…

Certains estiment qu’il est également possible de retenir une phrase et de ne mettre que les premières lettres de chaque mot (« AlBjcev » par exemple pour « Allez les Bleus, je crois en vous ! ») ou de l’écrire phonétiquement, avec une longueur de 12 caractères environ. Au travail !

 

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Rabais sur Tarifs de récupération de données

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La récupération de données : nos astuces pour en diminuer le prix.

Conscients que la récupération de données est un investissement qui peut être important dans les pannes de disques durs les plus graves à traiter en chambre blanche, nous vous proposons quelques solutions bien pensées pour vous permettre de diminuer le tarif de votre prestation de récupération de données chez CHRONODISK, sans en diminuer la qualité. Il vous suffit de nous consacrer quelques minutes de votre temps…

Solution 1 : Rabais de 8%

Le prix de votre récupération de données sera diminué de 8% en échange de votre participation à nous faire connaitre par l’intermédiaire de vos réseaux sociaux, de votre site associatif ou bien sur les forums sur lesquels vous avez l’habitude de demander ou de donner des astuces aux autres internautes. Dans le cas de cette remise, la rapidité de votre récupération de données n’est pas affectée. La qualité non plus, cela va de soi !

Par exemple, une récupération de données avec un prix initial de 500$ ne vous sera chargé que 460$.

Il vous suffit de nous faire connaitre sur internet, de participer à la découverte de nos services de récupération de données dont peu de gens finalement connaissent la spécificité et l’utilité. Comment ? Tout simplement en partageant sur vos réseaux sociaux (Facebook,  ViadeoLinkedinTwitterGoogle+…), sur votre site internet ou dans les forums auxquels vous avez l’habitude de participer (…) au moins 5 des liens hypertexte que nous vous proposons, avec toutes les variantes d’articles que cela implique, soit des centaines de liens différents :

www.chronodisk-recuperation-de-donnees.ca

www.chronodisk-recuperation-de-donnees.fr/avis-chronodisk.html

www.chronodisk-recuperation-de-donnees.ca/blog/

www.chronodisk-recuperation-de-donnees.fr/forum/

Sachant que sur notre blog nous avons des dizaines d’articles très intéressants et astucieux sur des sujets traités nul par ailleurs (la protection des données , recyclage de disque dur ou la fiabilité des disques durs, comment les choisir, etc.), sans compter notre Forum de discussion qui comporte de très nombreuses rubriques pour venir en aide aux internautes …

http://www.chronodisk-recuperation-de-donnees.fr/blog/recuperation-de-donnees/changez-de-disque-dur-sans-reinstaller-windows/

http://www.chronodisk-recuperation-de-donnees.fr/blog/recuperation-de-donnees/recuperation-de-donnees-combien-ca-coute/

Par exemple la rubrique Logiciels de récupération de données sur notre Forum :

www.chronodisk-recuperation-de-donnees.fr/forum/viewforum.php?f=12&sid=5b35d2e455a500ff2b878a7c6930d1ad

Les utilitaires astucieux pour son disque dur :

www.chronodisk-recuperation-de-donnees.fr/forum/viewforum.php?f=12&sid=5b35d2e455a500ff2b878a7c6930d1ad

Lorsque vous citez un de nos liens, pensez à utiliser  l’expression « récupération de données » au moins une fois dans chacun de vos textes que les internautes aient une idée précise de notre activité si peu connue.

Code html à intégrer sur votre site ou blog (si vous en avez un) :

<a href= »http://www.chronodisk-recuperation-de-donnees.ca »> Récupération de données sur disque dur et raid</a>

Vous pouvez également laisser un avis sur notre page Google via ce lien ou sur notre page facebook

Voici 3 exemples de liens sur 3 réseaux sociaux différents :

twit

tweet

face

post facebook

Chronodisk récupération de données

Post google+

Chronodisk récupération de données

Pour bénéficier des 8% vous pouvez par exemple partager 3 liens , un sur facebook, un sur google+,un autre sur linkedin puis mettre un lien sur votre site qui redirige vers notre site et laisser un avis google.

Solution 2 : Nous revendre vos vieux disques

Pour diminuer de plusieurs dizaines à plusieurs centaines de dollars le prix de votre récupération de données, proposez-nous ces vieux disques durs qui prennent la poussière dans votre armoire. Des disques parfois non fonctionnels, trop vieux, trop lents ou d’une capacité trop petite pour vos besoins. Nous les reprenons à partir de 500Gb, consulter à ce sujet l’article : Jeter ou recycler son vieux disque dur ?

Ces deux offres sont cumulatives !

Pour toute question ou précision n’hésitez pas nous contacter , nous nous ferons un plaisir de vous guider (contact@chronodisk.ca).

En vous remerciant de nous aider à mieux faire connaitre notre domaine d’activité, la récupération de données concerne tout le monde, car chacun dans sa vie aura subi au moins une fois dans sa vie une sérieuse perte de données.

Cet article est une adaptation de la version franco-française : Remise tarifs Récupération de données

Astuces Qui sommes-nous ? Récupération de données
Les Minions chronodisk récupération de données
Jeu concours CHRONODISK « Détestable Moi 3 » !

A l’occasion de la sortie du film Détestable Moi 3 

CHRONODISK vous propose de jouer avec les Minions et de remporter de nombreux lots !

Pour participer il suffira de liker notre page Facebook Récupération de données & les Minions et de répondre à un quiz sur le thème du film.

Les gagnants seront tirés au sort et seront contactés pour recevoir leurs dotations.


concours-minions-affiche

Cet article est une adaptation de la version franco-française : Jeu concours CHRONODISK « Détestable Moi 3 » !

Jeu concours Non classé Qui sommes-nous ? Récupération de données
Chronodisk récupération de données
Quelles étapes pour ma récupération de données ?

La récupération de données implique un processus  lourd qui amène beaucoup de questions.

Pas de panique, voici les étapes :

ETAPE 1

Je confie mon disque dur et je remplis le formulaire de prise en charge correspondant à mon support :

→ sur place, on me remet une attestation de dépôt avec mon numéro client

→ par voie postale, j’envoie mon disque dur en simple colis Poste Canada avec le formulaire imprimé, à l’adresse de CHRONODISK Montréal , 239 rue notre dame Ouest # 401, Montréal (Québec) H2Y 1T4

→ je fais une demande de cueillette, par téléphone ou par courriel à  contact@chronodisk.ca 

sans oublier de joindre mon formulaire imprimé au colis
recuperation-de-donnees-enlevement

ETAPE 2

Je reçois mon estimé-diagnostic sans frais par courriel en 2 à 6h, il contient mes informations clients avec mon numéro client.

Il m’indique :devis-recuperaion-de-donnees
→ la panne

→ le  forfait de récupération de données

→ le délai de traitement

ETAPE 3

Je VALIDE mon estimé par simple retour de courriel afin d’engager la récupération effective de mes données et je ne paie rien jusqu’à la fin du traitement.disque-dur-recuperation-donnees-salle-blanche

Je refuse, je viens chercher mon disque sans frais directement sur place.

ETAPE 4

Une fois mon disque traité par CHRONODISK, et au terme du délai indiqué, je reçois par courriel ma liste des données récupérables.

Je la VALIDE.

ETAPE 5

Les données récupérées seront mises à disposition à notre accueil de Montréal.

Je viens chercher mes données et je paie sur place par carte de crédit ou débit, cash, chèque ou virement Interac.

OU

Je peux payer à distance  en appelant le 514-931-3475 ou 1-855-767-3475 (sans frais) et je reçois mes données par un transporteur. Le coût de l’envoi est facturé 30$ +tx au Canada de même si je refuse l’estimé et que je souhaite récupérer mon disque dur défectueux.

Cet article est une adaptation de la version franco-française : Quelles étapes pour ma récupération de données ?

 

Astuces Récupération de données